John : Foi, rythme et chaos sacré

Rachel: il suono grave dell’indifferenza urbana Character

Note : John est un personnage fictif issu de l’univers de « Rahab Punkaholic Girls ». Toute ressemblance avec des personnes existantes serait purement fortuite. Ce blog est une œuvre de fiction explorant les thèmes de la foi, du son et de la dualité intérieure.


Chapitre 1 : L’enfant de l’oasis

John est né dans un petit village au bord d’une oasis, où le vent charrie autant de sable que de versets. Dans cet endroit recouvert de silence spirituel, les mots de la Bible étaient prononcés avec autant de révérence que la respiration elle-même.

Dès son plus jeune âge, il montre une obsession pour les mots, les rythmes et les questions qu’on ne pose pas. Pour lui, la vérité ne se trouve pas seulement dans les livres, mais aussi dans les silences entre les versets.

« Le silence est un rythme que Dieu utilise pour nous parler. »


Chapitre 2 : Un enseignant pas comme les autres

Aujourd’hui, John a 25 ans. Il est enseignant dans une petite école, où il enseigne la philosophie, la littérature et l’histoire des religions. Il parle calmement, mais chaque mot semble avoir été pesé, choisi avec soin.

Il est respecté, parfois craint. Ses cours ne donnent pas de réponses, ils donnent des doutes. Et c’est ce qui rend ses élèves nerveusement vivants.

Sur son bureau : un Nouveau Testament abîmé, un carnet noir, une paire de baguettes de batterie.


Chapitre 3 : La nuit appartient à Rahab Punkaholic Girls

Quand la cloche de l’école s’éteint, John quitte la salle de classe et monte sur scène. Il est le batteur du groupe Rahab Punkaholic Girls. Et là, il se transforme.

Son visage reste impassible, mais ses bras deviennent orage. Chaque frappe est un verset traduit en foudre. Il n’a pas besoin de micro : sa batterie parle pour lui.

« Je ne prêche pas. Je frappe, et Dieu me répond parfois. »


Chapitre 4 : Une foi non dogmatique

John est croyant. Mais pas soumis. Sa foi est dialogique. Il lit les Écritures comme on lit un vieux poème crypté : avec amour, mais aussi avec critique.

Il doute, ré-écrit, surligne, annote. Il prie, mais sans réciter. Il cherche, même dans le bruit. Surtout dans le bruit.


Chapitre 5 : Quand la batterie devient confession

La batterie de John n’est pas un instrument. C’est un autel.

Chaque solo est une confession. Chaque roulement, une libération. Quand il joue, il ferme les yeux, comme s’il récitait un psaume dans une langue oubliée. Le public ressent une onde sacrée, même sans la comprendre.

« Le punk peut être un chant grégorien, s’il vient du même endroit. »


Chapitre 6 : NFT et spiritualité encodée

John a commencé à publier ses improvisations sous forme de NFT. Mais ce ne sont pas de simples morceaux de batterie. Ce sont des archives spirituelles.

Certains fichiers portent des titres comme Trinité Polyrythmique, Psaume en 7/8, Credo en bruit blanc.

« Si Dieu écrivait aujourd’hui, il coderait ses versets. »


Chapitre 7 : L’ermite du tempo

Dans le groupe, John est celui qui parle le moins. Mais tout le monde se réfère à lui. Il est là, calme, distant mais essentiel.

Sa présence est monastique. Il n’a pas besoin d’éclats. Il est la structure, la mémoire et la tension. C’est lui qui empêche la musique de s’effondrer.


Chapitre 8 : Discipline et effondrement

Ce qui fascine chez John, c’est cette maîtrise au bord de la rupture.

Il joue avec une rigueur militaire, mais chaque coup est sur le fil de l’émotion brute. Il est l’équilibre entre la prière et le cri.

« La vérité se trouve là où les nerfs veulent rompre, mais ne rompent pas. »


Chapitre 9 : Fiction et miroir

John n’existe pas. C’est un personnage. Une idée. Mais combien d’entre nous se reconnaissent en lui ?

Dans ses doutes, sa foi, sa manière de tenir bon en silence. Il incarne cette spiritualité moderne, abîmée, sincère, éclatée.

« Je suis inventé. Mais si tu ressens ce que je joue, alors je suis réel. »


Chapitre final : Le rythme ne s’arrête jamais

John continue. Il enseigne le jour. Il joue la nuit. Il doute, prie, respire. Il ne cherche pas la lumière, mais la vérité dans l’ombre.

Et tant que son rythme résonne, quelque part dans le monde, quelqu’un comprendra que même la foi a besoin de distorsion.

« Je ne crois pas pour être pur. Je crois pour ne pas m’éteindre. »


©2025 Rahab Punkaholic Girls Project – Tous les personnages et les récits sont fictifs.

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