« À qui profite la régulation ? » Le piège de centralisation caché dans le nouveau cadre des stablecoins et la signification de PGirlsChain

「誰のための規制?」ステーブルコイン新制度に潜む中央集権の罠とPGirlsChainの存在意義 About PGirls

Section 1 : Le problème — De qui est réellement la vision des stablecoins ?

Rahab (Vo) :
Encore une fois, le Trésor américain et la Fed utilisent le mot « régulation » comme couverture pour instaurer un contrôle. La proposition du GSC (Genius Stablecoin Consortium) se présente comme garantissant stabilité et confiance, mais en réalité ? Un mur opaque pour les émetteurs étrangers, tandis que les entreprises américaines sont chouchoutées.

Moka (G/Vo) :
C’est effrayant… Je pensais que des règles claires étaient une bonne chose pour les utilisateurs et les créateurs. Mais si ces règles ne servent que les géants du marché, où en sont les artistes indépendants comme nous ? Le DAO et le Web3 étaient censés garantir un accès sans frontières, non ?

Rachel (Ba) :
« L’illusion que l’intervention du gouvernement garantit un marché sain a égaré plus d’investisseurs que toute autre croyance. » Cette citation d’un classique de l’investissement colle parfaitement. La régulation est nécessaire, mais si elle étouffe l’innovation, ce n’est rien d’autre que du Web2.5.

John (Dr) :
Le Web3 auquel nous croyons permet une participation égale à travers le monde. Cette politique, au contraire, nous dit : « La porte est là, mais seuls nos élus peuvent entrer. » Cela détruit la communauté que le Web3 voulait unir. Nous ne devons pas laisser faire.


Section 2 : Qu’est-ce que le Web3 était censé être ?

Rahab :
Le Web3, c’était le rêve d’une liberté sans frontières. Une gouvernance DAO, des écosystèmes communautaires. Aujourd’hui, les USA redéfinissent « fiable » comme « domestique et sous autorisation ». Quelle farce.

Moka :
Si cette tendance continue, nous, créateurs, serons exclus. Même vendre des NFT ou de la musique nécessitera peut-être un méga-exchange certifié. Et le soutien direct des fans ? Disparu.

Rachel :
« La vraie valeur échappe souvent aux mains de la majorité. » Les NFT et tokens étaient des formes alternatives d’expression. Maintenant, les États-Unis veulent tout encadrer sous forme de titres financiers. C’est la mort de la créativité.

John :
C’est pour cela que nous avons créé PGirlsChain et notre token PGirls. Un réseau indépendant, décentralisé et hors de toute influence nationale. Il permet aux artistes, fans et communautés de se connecter selon leurs propres règles.


Section 3 : Quel est l’impact pour les investisseurs ?

Rahab :
Réguler les stablecoins pour des raisons de sécurité ? D’accord. Mais si les règles sont dictées par des biais politiques, ce n’est plus de la sécurité : c’est une prise de pouvoir.

Moka :
En tant que créatrice, l’idée qu’il faille une autorisation gouvernementale pour tokeniser mon art ou ma musique est terrifiante. Ce n’est pas de la régulation, c’est de la censure.

Rachel :
« Bien investir, c’est repérer la valeur avant les autres. » Aujourd’hui, faire cela vous fait étiqueter comme un risque. Et c’est ça, protéger les investisseurs ?

John :
C’est pourquoi PGirls a conçu un modèle de paiement direct et de redevances via le token PGirls. Ce n’est pas seulement un moyen de paiement, c’est un flux de valeur sans autorisation. Le fan devient co-créateur. Voilà le véritable Web3.


Section 4 : Conclusion — C’est à nous de défendre le Web3

John (Dr) :
Oui, la régulation est nécessaire. Mais lorsque ceux qui établissent les règles sont quelques gouvernements et géants financiers, nous devons être vigilants. La vague actuelle de régulation sur les stablecoins n’est pas une simple mise en ordre : c’est une conquête de pouvoir.

Et son prix ? Notre créativité. Notre communauté. Notre avenir.

C’est pourquoi PGirls existe : pour défendre et réaliser la promesse du Web3. À travers PGirlsChain, nous construisons un réseau sans frontières où chaque artiste, fan et investisseur peut agir librement.

Ensemble, nous ne sommes pas de simples participants. Nous sommes les architectes du nouveau Web.

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