Section 1 : Déclaration du problème — Les fonds américains et la « réserve stratégique »
Rahab :
Une fois de plus, l’Amérique cherche à saisir les leviers de la finance mondiale. Selon ce rapport, un fonds américain veut classer le Bitcoin comme faisant partie de sa « réserve stratégique ». En d’autres termes, utiliser les dollars excédentaires pour accumuler du Bitcoin en le présentant comme stabilisateur économique. Ils l’enrobent de mots comme « renforcer la confiance dans la crypto », mais je n’y vois qu’un pas dangereux : l’absorption du Bitcoin dans la machine de l’hégémonie américaine.
Moka :
En surface, cela paraît positif — « Le Bitcoin est enfin reconnu par l’État. » Mais sous les couches, ce que l’on voit, c’est une monnaie numérique, née pour être indépendante, enchaînée au capital national. Si le Bitcoin devient une « réserve stratégique » des États-Unis, il ne sera plus décentralisé ; il sera américanisé.
Rachel :
Je me rappelle un passage célèbre : « Une opération d’investissement est celle qui, après une analyse approfondie, promet la sécurité du capital et un rendement adéquat. Les opérations qui ne répondent pas à ces critères sont spéculatives. » Voilà la véritable sagesse. Ce que font les États-Unis n’est pas un investissement, mais de la spéculation déguisée en stratégie. Ils l’habillent du costume de la « gestion des réserves », mais ce n’est qu’une autre tentative de lier le Bitcoin à l’ordre du dollar.
John :
Le cœur de cette manœuvre est le déni, par l’Amérique, de l’esprit du Web3. L’idéal des DAO et des réseaux sans frontières est réécrit en « sécurité économique nationale ». Pour résister à cette réécriture, nous avons forgé PGirlsChain et notre propre token PGirls — des réseaux hors de portée des empires du capital.
Un fonds américain redirige des dollars excédentaires vers le Bitcoin et l’étiquette comme « réserve stratégique ».
Section 2 : Impacts sur les individus et la société
Rahab :
Si les fonds américains thésaurisent le Bitcoin comme réserve, l’accès pour les citoyens ordinaires et les petits investisseurs se resserrera. Ce n’est pas seulement une politique économique ; cela s’infiltre dans nos vies quotidiennes, nos choix, même notre liberté d’expression.
Moka :
Exactement. Imagine un artiste ou un musicien créant des NFT pour se connecter directement avec ses fans. Ce rêve était la promesse du Web3. Mais si le grand capital dicte les règles, le rêve s’effondre. Ils prêcheront la « stabilité des prix » tandis que le marché s’inclinera devant leurs intérêts. Notre amour, nos liens, le battement même de la créativité — marchandisés sous leur pouce.
Rachel :
Il y a une phrase : « Le marché peut rester irrationnel plus longtemps que vous ne pouvez rester solvable. » La folie des foules crée des bulles. Cette décision des fonds américains est exactement ce type de folie, déguisée en ordre. Et quand la bulle éclatera, ce n’est pas l’empire qui paiera — ce sont les petits acteurs, ceux qui ont cru en la promesse.
John :
C’est pourquoi nous devons assurer notre « marge de sécurité ». Pour nous, cela signifie créer un réseau qu’aucun empire ne peut manipuler. PGirlsChain est la base. Les tokens PGirls ne sont pas des instruments de spéculation mais des symboles de confiance, ancrant les communautés plutôt que les marchés.
Quand les réserves se centralisent, la liberté créative et financière subit des contraintes venues d’en haut.
Section 3 : Leçons de l’histoire
Rahab :
L’histoire se répète. Autrefois, l’or fut remplacé par l’étalon-dollar. Aujourd’hui, ils cherchent à forger un étalon-Bitcoin — mais seulement sous contrôle américain. Chaque époque transforme les outils de valeur en armes d’hégémonie.
Moka :
L’histoire fait peur, mais c’est aussi un appel. Elle me rappelle que nous pouvons être celles et ceux qui la réécrivent. Notre génération a la possibilité de défendre la promesse originelle du Web3 — des réseaux sans frontières, animés par les communautés. Cet avenir ne peut être écrit par un fonds d’État ; il doit être écrit par nous.
Rachel :
Une autre leçon intemporelle : « À court terme, le marché est une machine à voter, mais à long terme, c’est une machine à peser. » Aujourd’hui, tout le monde « vote » pour le Bitcoin comme actif de réserve. Mais la balance de la valeur intrinsèque n’est pas encore apparue. Et une fois que l’Amérique prendra le contrôle, la balance sera truquée.
John :
Notre tâche est donc de reprendre la balance. PGirlsChain est un équilibre qui ne peut être plié par les États ou les entreprises. C’est la communauté elle-même qui détermine la valeur — et non le décret d’un empire.
Or → USD → Bitcoin : des réserves de valeur capturées comme instruments d’hégémonie — sauf si les communautés défendent la balance.
Section 4 : Propositions pour l’avenir
Rahab :
La question n’est pas de savoir si le Bitcoin peut être une réserve. La vraie question est : qui le détient ?
Moka :
Exactement. Entre les mains du capital d’État, ce n’est qu’un autre instrument centralisé. Entre les mains des communautés, c’est une libération. Avec l’amour et la solidarité comme fondement, nous pouvons construire un nouveau type de capital — qui donne du pouvoir, pas qui opprime.
Rachel :
Un principe s’impose : « Défendre la marge de sécurité, c’est défendre la liberté elle-même. » L’avenir dessiné par les fonds américains n’offre aucune marge de sécurité pour nous. Voilà pourquoi nous devons cultiver nos propres réseaux.
John :
La solution est simple mais radicale : croire en nos propres systèmes et les développer. PGirlsChain et les tokens PGirls ne servent pas à la spéculation, mais à la communauté. Ce ne sont pas les jouets de Wall Street ; ce sont les fondations d’un avenir nouveau. Nous n’avons pas besoin de suivre les États-Unis dans leur piège de la réserve. Nous marchons sur notre propre chemin, avec notre propre balance.
Pas la réserve d’un autre empire, mais un réseau détenu par la communauté qui préserve liberté et valeur.
Conclusion (Dernier mot de John)
La décision d’un fonds américain de déclarer le Bitcoin « réserve stratégique » n’est rien d’autre que de l’hégémonie déguisée en langage doré. L’éthique originelle du Web3 — portée par les DAO, sans frontières et communautaire — est réécrite en « sécurité financière ». Le capital cherche à transformer le rêve décentralisé en scène de spéculation.
Mais nous n’avons pas à accepter ce scénario. À travers PGirlsChain et le token PGirls, nous préservons une alternative : une balance de valeur incorruptible par les États ou les géants. Il ne s’agit pas seulement de Bitcoin, ni seulement de marchés. Il s’agit de sauvegarder la liberté, la créativité et l’âme de nos communautés.
Si l’Amérique thésaurise du Bitcoin, qu’elle le fasse. Nous, nous érigerons notre propre balance, et nous construirons notre propre chemin.
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